Dans quel ordre lire mon œuvre (romans ou nouvelles) ?
Chacun de mes textes se veut autonome. Ceci dit, beaucoup d’entre eux se déroulent dans le même univers. Et, pour en profiter davantage, vous vous dites qu’il vaut mieux lire tout ça dans l’ordre.
Je mets tout ça au clair.
Mon univers principal (anticipation)
Bienvenue à Kaliméra (à paraître)
Mars-avril 2046.
Dimitri Rodriguez est commercial à Kaliméra Cafés. Il aime presque son job. Bien sûr, l’entreprise est nocive pour la société, l’hypocrisie règne dans l’open-space et les gens se font virer pour un oui ou pour un non – mais c’est un coup à prendre. De toute façon, entre le bonheur et la survie, il faut choisir.
Seulement, voilà : même la survie de Dimitri paraît compromise lorsque son ancien chef de service disparaît inexplicablement ; que sa mystérieuse remplaçante semble impliquée dans un vaste complot orchestré par le directeur de Kaliméra ; ou lorsque ses collègues le font chanter afin d’être promus avant lui… Sans même parler des crises existentielles en cours de route.
Dimitri se voit contraint de mener l’enquête dans un travail de plus étouffant où personne n’est ce qu’il semble être ; à part son collègue Narcisse qui est décidément un sale con – et encore.
Mais encore ?
Non seulement Bienvenue à Kaliméra est complètement autonome, mais il peut se lire comme un roman contemporain : à part quelques détails comme une station de métro qui n’existe pas encore, vous n’y verrez que du feu !
Ceci dit, il introduit en douceur quelques filiales de la multinationale Sunrise, montre le futur fondateur de l’Église du Chiffre, les origines d’un groupuscule d’extrême-gauche et, d’une manière générale, on y voit l’époque désabusée qui suit la guerre des Trois Confessions, et qui servira de terreau au mouvement nocturne (et notamment la religion shadoniste).
Chroniques d’un hôtel souterrain (en cours)
Fin 2058 / début 2059.
Ce recueil de nouvelles se déroule avant Ne tirez pas sur la réceptionniste. Il raconte les premiers mois de l’hôtel Condor Aimé, et les aventures de Karine.
Mais encore ?
La plupart des nouvelles peuvent se lire de façon autonome, mais certaines s’apprécient mieux en suivant un ordre de lecture spécifique. Le recueil peut se lire avant ou après Ne tirez pas sur la réceptionniste. Certaines nouvelles peuvent servir d’introduction à certains éléments de mon univers : shadonisme, Scipion, Sunrise et Nightfall, l’Église du Chiffre, etc.
Certains des textes sont disponibles sur Wattpad et Kobo (gratuits). Vous pouvez aussi décider de vous inscrire à ma newsletter pour recevoir gratuitement une nouvelle, une fois tous les deux mois environ.
À l’heure actuelle, seule la version e-book est disponible. La seule exception est la nouvelle « Quinze petits lapins », incluse à la fin de mon roman Ne tirez pas sur la réceptionniste.
Ne tirez pas sur la réceptionniste
Nuit du 13 au 14 juin 2059.
Imaginez un hôtel souterrain, isolé, au milieu d’une pluie torrentielle qui n’arrête pas… Il ne manquerait plus que des satanistes fassent irruption en pleine nuit.
Ou des drogués preneurs d’otages.
Ou des voyous déguisés comme à carnaval.
Ou une démone.
Depuis qu’elle est réceptionniste, Karine a vu passer toutes sortes de cinglés, et il en faut beaucoup pour la prendre de court. Sauf que, quatre crises à gérer en parallèle, ça commence justement à faire beaucoup. Tant pis pour les fantômes, les inondations au septième sous-sol, l’aspirateur qu’elle était en train de bricoler ou son manager pénible : cette fois, c’est ni plus ni moins le chaos qu’il s’agit d’éviter.
Tiens bon, Karine, les secours arrivent… ah ben non, c’est vrai : il pleut.
Mais encore ?
Le roman est complètement autonome, même s’il évoque quelques éléments importants de mon univers : la dictature mise en place par le PDG du groupe Sunrise, Éric Letigre ; l’amokaïne ; et un personnage qui réapparaîtra dans le tome 2 de ma trilogie Les Enfants de l’Ombre.
Le roman a été écrit avant sa préquelle : les Chroniques d’un hôtel souterrain. Autrement dit, vous pouvez le lire avant ou après le recueil de nouvelles.
La pluie diluvienne qui tombe pendant le récit n’est pas anodine. On en dit un peu plus dans ma trilogie…
Les Enfants de l’Ombre (trilogie à paraître)
2048 : Romain Sollil, un jeune Toulousain, publie son premier roman de fantasy. Le succès est immédiat.
2054 : alors qu’une partie de la population a déjà choisi de vivre la nuit pour s’opposer à une société de plus en plus décadente, l’Église de l’Obscurité voit le jour et élève Romain Sollil au rang de prophète.
2059 : des étudiants en lettres passent un week-end dans le village de Saglas. Un adorateur de la Lune récemment converti et son crush, une nocturne (très) introvertie ; un révolutionnaire manipulateur pour qui la fin justifie les moyens ; une détective amateure à l’inépuisable bonne humeur ; ou encore la fêtarde écervelée…
Ils ignorent à quel point ces trois jours vont faire basculer leur vie… et le monde post-contemporain.
Mais encore ?
Campagne de financement prévue en 2026. Stay tuned !
Le Naufrage du Dragkfest
Mai 2061.
Damoiselles et damoiseaux, bienvenue au Dragkfest ! Un festival médiéval ambitieux, proposant d’incroyables concerts, des spectacles du feu de Dieu, et des dizaines d’exposants aux cosplays plus vrais que nature !
Seulement, la première édition du Dragkfest s’annonce compliquée. En plus d’être mal organisé et de manquer cruellement de cafetières, le festival est miné par des tensions internes. Très vite, deux camps se forment : d’un côté, dame Constance et ses médiévistes ; de l’autre, le capitaine Francisco Ramirez et son équipage de pirates.
Et, coincé entre les groupes rivaux, les fous et les égos surdimensionnés, il y a Morgan. Morgan, c’est juste un bénévole écolo, timide et maladroit, dont la vie sentimentale est rythmée par les coups de foudre à sens unique. Vraiment pas le profil à chercher les ennuis. Et pourtant…
Le Naufrage du Dragkfest raconte la grandeur et la décadence (surtout la décadence) d’un festival médiéval bourré de problèmes.
Mais encore ?
S’il fait allusion à pas mal d’événements de ma trilogie, et que l’on recroise les Joyeux Compagnons, Le Naufrage du Dragkfest peut se lire de façon autonome. Le roman fait techniquement partie d’un cycle d’histoires que j’ai écrites en grande partie, mais que je risque de ne pas publier avant un moment : le cycle de Lamashtu. Le jour où ça sortira, vous en apprendrez plus sur certains personnages…
Et d’autres histoires !
Certains de mes textes Wattpad se déroulent dans le même univers : « Une nuit à Casa de Campo », « La défaite des Lumières », ainsi que plusieurs nouvelles de mon recueil « Rendez-vous vers l’absurde » (« Rencontre littéraire par une soirée agitée », « Le comptable qui respirait par les fesses »… et d’autres que j’intégrerai peut-être dans mon univers, à terme).
Les Cavaliers de l’Éditocalypse
« Je chante les faits d’armes des trois Cavaliers de l’Éditocalypse – le Dernier Shadoniste, la Dama del Sol et le Faune. Ces trois héros, au prix d’efforts surhumains, cherchaient ce que d’aucuns appelleraient leur Graal: la Publication.
Mais leur quête était semée d’embûches. Car, au commencement, l’Éditeur décida des Saintes Règles.
Ceci est inspiré d’une histoire vraie. »
Ce recueil se déroule dans un monde tout à fait étrange, peut-être dans notre passé, peut-être dans notre futur, et peut-être dans une autre dimension…
Il y a beaucoup d’humour méta, faisant de multiples références à mon univers et à ceux des autres « Cavaliers », les collègues auteurs avec qui on a décidé de s’associer au sein d’un collectif.
Et vous, dans quel ordre comptez-vous lire mes bouquins ?
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