Enfants de l’Ombre (trilogie)

“Écrire une quadrilogie, c’est comme élaborer les plans d’une fusée. La moindre incohérence mineure au départ peut réduire le résultat en cacahuètes.” (Romain Sollil, alias le Prophète)

 

Tout au long de ce blog, vous trouverez de nombreuses allusions à ma trilogie Les Enfants de l’Ombre, à la société nocturne, aux aspirateurs à téléportation et à plein d’autres trucs dont vous n’aurez jamais entendu parler. Et pour cause.

Voici donc quelques éclaircissements.

 

Enfants de l’Ombre : qu’es aco

L’expression “Enfants de l’Ombre” renvoie à trois choses :

  • le nom de la quadrilogie complètement fictive initiée par Romain Sollil, une personnalité majeure dans ma saga. Vous en saurez plus sur la “Sainte Quadrilogie” en temps voulu ;

  • le nom que se donnent parfois les Shadonistes. Le Shadonisme est une religion bizarre croyant dur comme fer que la Lune est une déesse qui, un jour, nous mènera vers la Planète promise. Lorsque nous serons prêts, et ce n’est pas gagné ;

  • enfin, c’est le nom de ma saga. Il s’agit d’une trilogie autonome et enfin achevée que je compléterai peut-être dans un futur indéterminé par un quatrième volume (dans un format encore indéterminé).

Dans cet article, je n’évoquerai que le troisième point, à savoir ma trilogie.

 

La trilogie des Enfants de l’Ombre : pitch

L’histoire se déroule dans les années 2058-2060.

À cette époque, la situation mondiale n’est guère brillante : le climat continue à se détraquer, l’Occident est en pleine décadence, la France est dirigée par un dictateur, et la population est encore traumatisée par la guerre des Trois Confessions – laquelle a opposé Islamistes, Sionistes et Chrétiens conservateurs (et aussi athées, hindous, agnostiques, déistes, etc., mais les historiens ont décidé de ne pas trop compliquer les choses).

Au cours de la décennie précédente, en réaction à tout cela, est né le mouvement nocturne. En quelques mots : une partie de la population décidant de vivre la nuit. Certains par conviction religieuse ; d’autres afin de signifier symboliquement qu’il est plus que temps de changer le monde, à commencer par soi-même, avant qu’il ne parte définitivement en cacahuètes.

L’histoire commence avec les points de vue de plusieurs étudiants toulousains : une Nocturne dépressive, un amoureux naïf, une nana qui se la joue Sherlock Holmes et un rebelle qui a des comptes à rendre à la société. Tous se verront confrontés, chacun à sa manière, à la menace que constitue le Shadonisme.

Car le Shadonisme n’est pas juste une religion absurde dont les adhérents aiment à chanter et danser à la pleine lune, dans l’espoir que celle-ci les entende et supposant que même dans ce cas elle en ait quelque chose à f***. Le Shadonisme, c’est aussi une institution menacée par la drogue, la corruption, le sectarisme et le fanatisme meurtrier.

Le mécanisme infernal se met lentement en place, et cette poignée d’étudiants devra lutter pour ne pas être broyée.

 

Ton et thématiques abordées

À proprement parler, il s’agit de romans d’anticipation.

Toutefois, il n’y a rien de tel que le mélange des genres et des tons pour cuisiner une bonne histoire. Dans un saladier, versez une société complexe, puis du policier, du drame psychologique, ajoutez une pincée de fantastique et dosez bien l’humour (oooups, le récipient m’a échappé, ben du coup ça sera drôlement épicé).

J’aborde et survole un grand nombre de thématiques. Dans le tome 1, dans le désordre, on trouve un pacte de frères de sang, une voyante qui vient de commencer son master, un méchant râteau, la confection de biscuits immangeables (ça c’est pour le côté didactique), la Marseillaise version satanique, un filmeur fou, un mouton désemparé et l’accident stupide d’un personnage essentiel.

 

Voilà. Maintenant, il ne vous reste plus qu’à prier avec moi pour que je trouve un éditeur.

Allez, si vous n’êtes pas inspirés, voici un cantique à la Mère Lune que vous pourrez chantonner ce soir (sur l’air que vous voulez) :

Sélénis, écoute-nous !

Tu es notre lumière dans la nuit, notre parasol face au jour assassin.

Sélénis, libère-nous !

Tu es la Muse des poètes, la joie des chanteurs, le rêve des futurs écrivains.

Où es-tu, Sélénis ?

Sans toi, la mort nous attend, l’amour n’est qu’un mot et nos espoirs sont vains.

À vous d’imaginer la suite.

 

Pour info, vous pouvez lire les premières pages du tome 1 sur mon blog.


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